C’est le cœur de la ville. A la terrasse du vieux Nice règne une atmosphère unique portée par le soleil et la couleur vive des étroites maisons. Les ruelles remontent les couloirs du temps, d’anecdotes en secrets historiques alors que les marchés soulèvent des volutes gourmandes et des patchworks de couleurs. Découverte pittoresque et ambiance de village, le Best Western Hôtel Albavous propose une balade le nez en l’air dans le vieux quartier.
Vue du vieux Nice
Cours Saleya
Un peu partout dans le vieux quartier subsistent des témoins du passé. Avant le Xème siècle la ville est un comptoir grec du nom de Nikaïa, qui deviendra Nicea puis Nice. Respectivement bourg médiéval appartenant au Comté de Provence puis cité du Comté de Savoie, la ville nouvelle va progressivement se développer en contrebas de la colline et prospérer grâce à son port franc avant d’être définitivement rattachée à la France en 1860. De cette histoire, le vieux quartier porte encore les marques. Ainsi les barreaux des fenêtres de l’ancien Sénat donne une indication sur son autre fonction, une prison, alors que dans son jardin accueillait la « carrièra dei presoun », la maison du bourreau, dont la charge se transmettait de père en fils. Devenue française et dépourvue de bourreau attitré, Nice dû faire en venir un de Paris qui arrivait gare Thiers avec sa guillotine portative. Un peu plus loin, rue de Gèsu, sur la maison attenante à l’église éponyme on peut encore voir une bien curieuse inscription : « Interna meliora », littéralement « meilleur à l’intérieur ». Il s’agissait en réalité d’une incitation à venir découvrir le commerce qui s’y tenait alors : une maison close. Alors qu’aujourd’hui de nombreux restaurants à la cuisine goûteuse bordent la rue Mascoïnat, il est intéressant de savoir que son nom vient des gargotes mal fréquentées du moyen-âge où l’on servait une nourriture douteuse : « màu couhìna » « mauvaise cuisine » en nissart.
Toits du Vieux-Nice
Rue Rossetti
Abreuvés des secrets du vieux Nice, allez ensuite siroter un verre pour vous imprégner de l’ambiance fabuleuse du quartier. Petits commerces, échoppes d’artistes, boutiques de créateurs, vêtements chics et articles de décoration fourmillent, alors que les pub, bars et restaurant ouvrent leurs terrasses aux passants, de jour comme de nuit. Des cuisines s’échappent les odeurs délicieuses des spécialités fraîches et colorées de la cuisine niçoise, une ode à la mer, aux fruits et aux légumes. Partout autour les ruelles étroites apportent une fraîcheur ombragée qui rend la promenade agréable alors que les commerces de bouche, épiceries, boulangeries et boucheries ouvrent l’appétit. Fleurs de courgettes, petits artichauts violets, fraises gorgées de soleil, socca toute chaude, sur les marchés du cours Saleya les saveurs de la méditerranée et de l’arrière-pays s’offrent aux passants. Un peu plus loin le marché aux fleurs, classé parmi les marchés d’exception en France par le Conseil National des Arts Culinaires est une symphonie de senteurs et de couleurs.
Petit village fourmillant, pierres chargées d’histoire, ambiance nocturne féerique, marché aux mille et une saveurs, il fait bon vivre à la terrasse du vieux Nice. En plein cœur du vieux quartier, vous trouverez ensuite le repos au Best Western Hôtel Alba !
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À la terrasse du vieux Nice
C’est le cœur de la ville. A la terrasse du vieux Nice règne une atmosphère unique portée par le soleil et la couleur vive des étroites maisons. Les ruelles remontent les couloirs du temps, d’anecdotes en secrets historiques alors que les marchés soulèvent des volutes gourmandes et des patchworks de couleurs. Découverte pittoresque et ambiance de village, le Best Western Hôtel Alba vous propose une balade le nez en l’air dans le vieux quartier.
Un peu partout dans le vieux quartier subsistent des témoins du passé. Avant le Xème siècle la ville est un comptoir grec du nom de Nikaïa, qui deviendra Nicea puis Nice. Respectivement bourg médiéval appartenant au Comté de Provence puis cité du Comté de Savoie, la ville nouvelle va progressivement se développer en contrebas de la colline et prospérer grâce à son port franc avant d’être définitivement rattachée à la France en 1860. De cette histoire, le vieux quartier porte encore les marques. Ainsi les barreaux des fenêtres de l’ancien Sénat donne une indication sur son autre fonction, une prison, alors que dans son jardin accueillait la « carrièra dei presoun », la maison du bourreau, dont la charge se transmettait de père en fils. Devenue française et dépourvue de bourreau attitré, Nice dû faire en venir un de Paris qui arrivait gare Thiers avec sa guillotine portative. Un peu plus loin, rue de Gèsu, sur la maison attenante à l’église éponyme on peut encore voir une bien curieuse inscription : « Interna meliora », littéralement « meilleur à l’intérieur ». Il s’agissait en réalité d’une incitation à venir découvrir le commerce qui s’y tenait alors : une maison close. Alors qu’aujourd’hui de nombreux restaurants à la cuisine goûteuse bordent la rue Mascoïnat, il est intéressant de savoir que son nom vient des gargotes mal fréquentées du moyen-âge où l’on servait une nourriture douteuse : « màu couhìna » « mauvaise cuisine » en nissart.
Abreuvés des secrets du vieux Nice, allez ensuite siroter un verre pour vous imprégner de l’ambiance fabuleuse du quartier. Petits commerces, échoppes d’artistes, boutiques de créateurs, vêtements chics et articles de décoration fourmillent, alors que les pub, bars et restaurant ouvrent leurs terrasses aux passants, de jour comme de nuit. Des cuisines s’échappent les odeurs délicieuses des spécialités fraîches et colorées de la cuisine niçoise, une ode à la mer, aux fruits et aux légumes. Partout autour les ruelles étroites apportent une fraîcheur ombragée qui rend la promenade agréable alors que les commerces de bouche, épiceries, boulangeries et boucheries ouvrent l’appétit. Fleurs de courgettes, petits artichauts violets, fraises gorgées de soleil, socca toute chaude, sur les marchés du cours Saleya les saveurs de la méditerranée et de l’arrière-pays s’offrent aux passants. Un peu plus loin le marché aux fleurs, classé parmi les marchés d’exception en France par le Conseil National des Arts Culinaires est une symphonie de senteurs et de couleurs.
Petit village fourmillant, pierres chargées d’histoire, ambiance nocturne féerique, marché aux mille et une saveurs, il fait bon vivre à la terrasse du vieux Nice. En plein cœur du vieux quartier, vous trouverez ensuite le repos au Best Western Hôtel Alba !
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