« Cette magnifique plénitude de lumière a sur moi, mortel très supplicié, une action quasi miraculeuse ». Lorsqu’il parle de Nice, Nietzsche s’enthousiasme pour son soleil généreux, la chaleur de son climat et ses couleurs flamboyantes. De 1883 à 1888, lors de cinq séjours, l’écrivain et philosophe allemand y retrouvera la santé et la puissance créatrice nécessaire à son œuvre. Le Best Western Hôtel Alba vous emmène sur ses pas.
Lorsqu’il arrive à Nice à la fin de l’année 1883, Nietzsche accuse une santé fragile. Très vite la vie bouillonnante et cosmopolite du quartier italien niçois, les bruits, les odeurs et la douceur des hivers lui mettent du baume au cœur. Dans une lettre à sa sœur, il raconte : « les jours se succèdent ici d’une beauté que je qualifierais d’insolente. Je n’ai jamais vu d’hiver d’une perfection si constante. Et ces couleurs de Nice !». Dans Ecce Homo, il complète : « Sous un ciel pareil, j’arriverai bien à faire progresser l’ouvrage de ma vie ». Adapte de longues marches solitaires dans lesquelles il trouve l’inspiration, les paysages de la Riviera lui offrent matière à réflexion. L’horizon bordé par la Méditerranée et les Préalpes, les sentiers escarpés le long de la côte, la végétation sauvage sont autant de sources d’énergie vitale. L’opéra de Nice, situé à proximité immédiate de son lieu de vie, l’enthousiasme également ; à tel point qu’il assiste à près de 20 représentations de Carmen. Ce sud le régénère, sa chaleur et son atmosphère latine le rendent plus fort : « quelque chose d’extra-européen s’en dégage, quelque chose de très réconfortant qui me dit : ici tu es à ta place ». C’est donc ici dans le quartier populaire de la rue Saint-François de Paule à Nice qu’il va rédiger une partie du Gai Savoir ainsi que les parties 3 et 4 d’Ainsi parlait Zarathoustra.
Il y revient dans son livre Ecce Homo : « L’hiver suivant, sous le ciel alcyonien de Nice qui, pour la première fois, rayonna alors dans ma vie, j’ai trouvé le troisième Zarathoustra, et j’avais ainsi terminé. Cette partie fut composée pendant une montée des plus pénibles de la gare au merveilleux village d’Eze bâti au milieu des rochers… »Eze, magnifique hameau perché jouera un rôle prépondérant dans son œuvre, un rôle qu’il qualifiera lui-même de « décisif ». Obligeant l’écrivain à une marche salvatrice, ces moments d’ascension solitaire rendaient sa puissance créatrice encore plus forte. Aujourd’hui encore, lorsque l’on emprunte le sinueux sentier qui porte son nom et mène jusqu’au village, il est aisé de comprendre le pouvoir d’inspiration du corps enthousiasmé par l’effort et par la beauté saisissante de ce petit coin de paradis.
S’il quitta la Riviera en 1888 au terme de cinq séjours prolifiques, ce bout de France a grandement contribué à l’œuvre magistrale du philosophe. Un séjour au Best Western Hôtel Alba vous donnera l’opportunité de remonter le temps, entre Nice et Eze, sur les pas du père d’Ainsi parlait Zarathoustra.
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Visitez Eze dans les pas de Nietzsche !
« Cette magnifique plénitude de lumière a sur moi, mortel très supplicié, une action quasi miraculeuse ». Lorsqu’il parle de Nice, Nietzsche s’enthousiasme pour son soleil généreux, la chaleur de son climat et ses couleurs flamboyantes. De 1883 à 1888, lors de cinq séjours, l’écrivain et philosophe allemand y retrouvera la santé et la puissance créatrice nécessaire à son œuvre. Le Best Western Hôtel Alba vous emmène sur ses pas.
Lorsqu’il arrive à Nice à la fin de l’année 1883, Nietzsche accuse une santé fragile. Très vite la vie bouillonnante et cosmopolite du quartier italien niçois, les bruits, les odeurs et la douceur des hivers lui mettent du baume au cœur. Dans une lettre à sa sœur, il raconte : « les jours se succèdent ici d’une beauté que je qualifierais d’insolente. Je n’ai jamais vu d’hiver d’une perfection si constante. Et ces couleurs de Nice ! ». Dans Ecce Homo, il complète : « Sous un ciel pareil, j’arriverai bien à faire progresser l’ouvrage de ma vie ». Adapte de longues marches solitaires dans lesquelles il trouve l’inspiration, les paysages de la Riviera lui offrent matière à réflexion. L’horizon bordé par la Méditerranée et les Préalpes, les sentiers escarpés le long de la côte, la végétation sauvage sont autant de sources d’énergie vitale. L’opéra de Nice, situé à proximité immédiate de son lieu de vie, l’enthousiasme également ; à tel point qu’il assiste à près de 20 représentations de Carmen. Ce sud le régénère, sa chaleur et son atmosphère latine le rendent plus fort : « quelque chose d’extra-européen s’en dégage, quelque chose de très réconfortant qui me dit : ici tu es à ta place ». C’est donc ici dans le quartier populaire de la rue Saint-François de Paule à Nice qu’il va rédiger une partie du Gai Savoir ainsi que les parties 3 et 4 d’Ainsi parlait Zarathoustra.
Il y revient dans son livre Ecce Homo : « L’hiver suivant, sous le ciel alcyonien de Nice qui, pour la première fois, rayonna alors dans ma vie, j’ai trouvé le troisième Zarathoustra, et j’avais ainsi terminé. Cette partie fut composée pendant une montée des plus pénibles de la gare au merveilleux village d’Eze bâti au milieu des rochers… » Eze, magnifique hameau perché jouera un rôle prépondérant dans son œuvre, un rôle qu’il qualifiera lui-même de « décisif ». Obligeant l’écrivain à une marche salvatrice, ces moments d’ascension solitaire rendaient sa puissance créatrice encore plus forte. Aujourd’hui encore, lorsque l’on emprunte le sinueux sentier qui porte son nom et mène jusqu’au village, il est aisé de comprendre le pouvoir d’inspiration du corps enthousiasmé par l’effort et par la beauté saisissante de ce petit coin de paradis.
S’il quitta la Riviera en 1888 au terme de cinq séjours prolifiques, ce bout de France a grandement contribué à l’œuvre magistrale du philosophe. Un séjour au Best Western Hôtel Alba vous donnera l’opportunité de remonter le temps, entre Nice et Eze, sur les pas du père d’Ainsi parlait Zarathoustra.
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